Griotte et choriste de Salif Keïta, Bah Kouyaté chante aussi bien la musique moderne que celle qu’elle a héritée de ses parents, c’est à dire le djéliya. Dans une atmosphère joviale, elle a accepter parler de sa carrière, son avis sur les conditions des femmes au Mali, etc.Lire Plus
Crédit photo, festival soninkéLire Plus
Des entailles plus ou moins longues faites par une arme ou un instrument tranchant ; ce sont les cicatrices laissées par ces blessures qu’on appelle balafres. Réalisées sur différentes parties du corps (tempes, joues, front, abdomen, dos…), les balafres sont des signes d’identification culturelle et même géographique, notamment en Afrique et au Mali, qui tendent à […]Lire Plus
Comme le griot, le forgeron, le founè (maître de la parole), les esclavages ont longtemps connu le statut d’hommes et femmes de caste ayant une place dans la société traditionnelle malienne. Mais si les premiers cités ses sont renforcés voire valorisés avec le temps en acquérant de la richesse : argent, or, bétail, gloire, l’esclavage a […]Lire Plus
CDM San Nièta : Valorisation mariage traditionnel Source : CDPM San NiètaLire Plus
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